La préfecture de Dalaba a abrité, ce samedi 6 septembre, la cérémonie de lancement officiel de la campagne référendaire. L’événement a été présidé conjointement par le ministre de la Sécurité et de la Protection civile 𝐁𝐚𝐜𝐡𝐢𝐫 𝐃𝐢𝐚𝐥𝐥𝐨, coordinateur de la région de Mamou, et par le ministre de l’Enseignement Supérieur, de la Recherche Scientifique et de l’Innovation Alpha Bacar Barry, coordinateur de la préfecture de Dalaba.

Devant les autorités administratives, les notabilités locales, les représentants de la jeunesse et des organisations féminines, les deux membres du gouvernement ont rappelé l’importance du projet de nouvelle Constitution dans le processus de refondation institutionnelle engagé par le pays. Ils ont également salué la mobilisation des populations de Dalaba, appelées à jouer un rôle moteur dans le succès du scrutin.

Au terme des échanges, la préfecture a réaffirmé son engagement résolu à œuvrer pour une adhésion massive au projet soumis au vote. Les responsables locaux ont exprimé leur ambition de porter le 21 septembre prochain un plébiscite en faveur du « oui », faisant de Dalaba une vitrine de la mobilisation nationale.

Dans le cadre de la campagne référendaire, une rencontre de concertation s’est tenue ce vendredi à 𝐃𝐚𝐥𝐚𝐛𝐚 entre le ministre de la Sécurité et de la Protection civile, 𝐁𝐚𝐜𝐡𝐢𝐫 𝐃𝐢𝐚𝐥𝐥𝐨, coordonnateur de la région de Mamou, et le ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche scientifique et de l’Innovation, Alpha Bacar Barry, coordonnateur de la préfecture de Dalaba.

À leurs côtés, le Conseil préfectoral des jeunes, l’Union des femmes agricultrices et l’association « Tous pour l’avenir de Dalaba » (TAD) ont pris part aux échanges, centrés sur la mobilisation en faveur du « 𝐎𝐔𝐈 » au référendum constitutionnel prévu le 21 septembre prochain.

« Les jeunes et les femmes se sont mobilisés spontanément. Avec eux, nous avons discuté de la meilleure façon de maximiser la participation, d’assurer la sécurité des votes et de réduire au strict minimum les bulletins nuls », a déclaré 𝐀𝐥𝐩𝐡𝐚 𝐁𝐚𝐜𝐚𝐫 𝐁𝐚𝐫𝐫𝐲. Selon lui, un effort soutenu de sensibilisation, d’éducation et d’information à la base est indispensable pour garantir la réussite du scrutin.

Pour les deux membres du gouvernement, l’enjeu dépasse la simple mobilisation. « Il s’agit d’accompagner les populations dans le retrait des cartes d’électeurs, de veiller à leur présence le jour du vote et de garantir que chaque bulletin soit valable. C’est un travail collectif qui engage l’ensemble des acteurs locaux », a souligné le ministre 𝐁𝐚𝐜𝐡𝐢𝐫 𝐃𝐢𝐚𝐥𝐥𝐨.

Les ministres ont par ailleurs insisté sur la nécessité d’un scrutin apaisé. « Le référendum est un espace d’expression démocratique. Nous ne sommes pas dans une logique partisane, mais dans une démarche visant à ramener notre pays vers la normalité constitutionnelle. Il n’y a donc aucune raison que des tensions surviennent », ont-ils conclu.

Dans le cadre de la campagne référendaire, une rencontre de concertation s’est tenue ce vendredi à 𝐃𝐚𝐥𝐚𝐛𝐚 entre le ministre de la Sécurité et de la Protection civile, 𝐁𝐚𝐜𝐡𝐢𝐫 𝐃𝐢𝐚𝐥𝐥𝐨, coordonnateur de la région de Mamou, et le ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche scientifique et de l’Innovation, Alpha Bacar Barry, coordonnateur de la préfecture de Dalaba.

À leurs côtés, le Conseil préfectoral des jeunes, l’Union des femmes agricultrices et l’association « Tous pour l’avenir de Dalaba » (TAD) ont pris part aux échanges, centrés sur la mobilisation en faveur du « 𝐎𝐔𝐈 » au référendum constitutionnel prévu le 21 septembre prochain.

« Les jeunes et les femmes se sont mobilisés spontanément. Avec eux, nous avons discuté de la meilleure façon de maximiser la participation, d’assurer la sécurité des votes et de réduire au strict minimum les bulletins nuls », a déclaré 𝐀𝐥𝐩𝐡𝐚 𝐁𝐚𝐜𝐚𝐫 𝐁𝐚𝐫𝐫𝐲. Selon lui, un effort soutenu de sensibilisation, d’éducation et d’information à la base est indispensable pour garantir la réussite du scrutin.

Pour les deux membres du gouvernement, l’enjeu dépasse la simple mobilisation. « Il s’agit d’accompagner les populations dans le retrait des cartes d’électeurs, de veiller à leur présence le jour du vote et de garantir que chaque bulletin soit valable. C’est un travail collectif qui engage l’ensemble des acteurs locaux », a souligné le ministre 𝐁𝐚𝐜𝐡𝐢𝐫 𝐃𝐢𝐚𝐥𝐥𝐨.

Les ministres ont par ailleurs insisté sur la nécessité d’un scrutin apaisé. « Le référendum est un espace d’expression démocratique. Nous ne sommes pas dans une logique partisane, mais dans une démarche visant à ramener notre pays vers la normalité constitutionnelle. Il n’y a donc aucune raison que des tensions surviennent », ont-ils conclu.