Dans le cadre de la campagne rĂ©fĂ©rendaire, une rencontre de concertation sâest tenue ce vendredi Ă đđđ„đđđ entre le ministre de la SĂ©curitĂ© et de la Protection civile, đđđđĄđąđ« đđąđđ„đ„đš, coordonnateur de la rĂ©gion de Mamou, et le ministre de lâEnseignement supĂ©rieur, de la Recherche scientifique et de lâInnovation, Alpha Bacar Barry, coordonnateur de la prĂ©fecture de Dalaba.
Ă leurs cĂŽtĂ©s, le Conseil prĂ©fectoral des jeunes, lâUnion des femmes agricultrices et lâassociation « Tous pour lâavenir de Dalaba » (TAD) ont pris part aux Ă©changes, centrĂ©s sur la mobilisation en faveur du « đđđ » au rĂ©fĂ©rendum constitutionnel prĂ©vu le 21 septembre prochain.
« Les jeunes et les femmes se sont mobilisĂ©s spontanĂ©ment. Avec eux, nous avons discutĂ© de la meilleure façon de maximiser la participation, dâassurer la sĂ©curitĂ© des votes et de rĂ©duire au strict minimum les bulletins nuls », a dĂ©clarĂ© đđ„đ©đĄđ đđđđđ« đđđ«đ«đČ. Selon lui, un effort soutenu de sensibilisation, dâĂ©ducation et dâinformation Ă la base est indispensable pour garantir la rĂ©ussite du scrutin.
Pour les deux membres du gouvernement, lâenjeu dĂ©passe la simple mobilisation. « Il sâagit dâaccompagner les populations dans le retrait des cartes dâĂ©lecteurs, de veiller Ă leur prĂ©sence le jour du vote et de garantir que chaque bulletin soit valable. Câest un travail collectif qui engage lâensemble des acteurs locaux », a soulignĂ© le ministre đđđđĄđąđ« đđąđđ„đ„đš.
Les ministres ont par ailleurs insistĂ© sur la nĂ©cessitĂ© dâun scrutin apaisĂ©. « Le rĂ©fĂ©rendum est un espace dâexpression dĂ©mocratique. Nous ne sommes pas dans une logique partisane, mais dans une dĂ©marche visant Ă ramener notre pays vers la normalitĂ© constitutionnelle. Il nây a donc aucune raison que des tensions surviennent », ont-ils conclu.